En matière de protection de l’environnement, le Bureau Géologique intervient sur des études d’évaluation d’impacts environnementaux. Il s’agit notamment des études d’évaluation de la biodiversité (terrestre et marine), de la qualité de l’air et du bruit, de la protection du milieu physique.
Le BGC a réalisé les études suivantes :
Etudes d’Impact Environnemental et Socio-économique relatives à l’instauration de mesures de gestion durable des zones traversées par la route Bahani – Soufrière ;
Etudes d’impact environnemental sur la qualité de l’air (H2S) dans la zone sommitale du Karthala (zone de la soufrière, stations de forage et zone prévue pour le terrassement de la route) ;
Evaluation des risques Volcaniques du Karthala ;
Evaluation des impacts environnementaux et sociaux des relevés sismiques en 3D des blocs 35, 36 et 37 réalisés à l’Ouest de la Grande Comore.
L’importance des géosciences a suscité l’intérêt de l’Union des Comores à capitaliser le développement des filières géologiques du pays. Cet intérêt a été matérialisé par la création du Bureau Géologique des Comores (BGC) pour encadrer et assurer la gestion rationnelle des ressources géologiques. En effet, les ressources du sol et du sous-sol peuvent jouer un rôle important dans le développement économique et social du pays. A cet égard, le BGC est chargé de l’élaboration et la mise en œuvre de la politique pétrolière et minière, mais aussi de la recherche en matière de géosciences et de l’exploitation raisonnée et durable des ressources. Face aux défis climatique et énergétique, le BGC s’emploie à développer l’énergie géothermique pour inscrire la croissance économique sur une trajectoire de durabilité. Cette source d’énergie permettra d’éviter la subvention annuelle d’environ 80 milliards de nos francs de l’Etat pour soutenir la Sonelec. Quant au secteur pétrolier, des avancées significatives sont enregistrées dans l’exploration. Deux contrats de prospection et deux contrats de partage de production sont en cours dans l’offshore comorien. Dans le secteur minier, l’élaboration d’un Code Minier est en cours pour doter le pays d’un cadre règlementaire régissant l’exploitation rationnelle des ressources minérales y compris l’exploitation des substances des carrières. Une cartographie géologique est également envisagée pour améliorer la connaissance des ressources du sol et du sous-sol. Tous ces secteurs constituent l’épine dorsale du développement industriel et peuvent contribuer considérablement à l’émergence du pays à l’horizon 2030. Le BGC s’engage à mettre toute sa compétence au service du développement de ces secteurs pour répondre aux aspirations légitimes du peuple comorien.
L’importance des géosciences a suscité l’intérêt de l’Union des Comores à capitaliser le développement des filières géologiques du pays. Cet intérêt a été matérialisé par la création du Bureau Géologique des Comores (BGC) pour encadrer et assurer la gestion rationnelle des ressources géologiques. En effet, les ressources du sol et du sous-sol peuvent jouer un rôle important dans le développement économique et social du pays. A cet égard, le BGC est chargé de l’élaboration et la mise en œuvre de la politique pétrolière et minière, mais aussi de la recherche en matière de géosciences et de l’exploitation raisonnée et durable des ressources. Face aux défis climatique et énergétique, le BGC s’emploie à développer l’énergie géothermique pour inscrire la croissance économique sur une trajectoire de durabilité. Cette source d’énergie permettra d’éviter la subvention annuelle d’environ 80 milliards de nos francs de l’Etat pour soutenir la Sonelec. Quant au secteur pétrolier, des avancées significatives sont enregistrées dans l’exploration. Deux contrats de prospection et deux contrats de partage de production sont en cours dans l’offshore comorien. Dans le secteur minier, l’élaboration d’un Code Minier est en cours pour doter le pays d’un cadre règlementaire régissant l’exploitation rationnelle des ressources minérales y compris l’exploitation des substances des carrières. Une cartographie géologique est également envisagée pour améliorer la connaissance des ressources du sol et du sous-sol. Tous ces secteurs constituent l’épine dorsale du développement industriel et peuvent contribuer considérablement à l’émergence du pays à l’horizon 2030. Le BGC s’engage à mettre toute sa compétence au service du développement de ces secteurs pour répondre aux aspirations légitimes du peuple comorien.